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24 juin 2006

Lyon 1er jour

Départ à la gare à 7 heures, changement à Belfort pour quelques heures de train; "voyager léger" avions-nous décidé; point d'en cas matinal pour caler une petite faim , tout serait "trouvable" dans le train; eh ben, non point de vente ambulante dans celui-ci, point de café pour accompagner nos gâteaux secs, très secs...

Arrivée à Perrache; nous décidons d'aller à pied à la Sucrière, histoire de se dégourdir les jambes. Nous longeons des bords de Saône qui gardent encore les traces de la nuit de la musique qui a du être très animée (et arrosée!).

Avant le plaisir des yeux, celui de la bouche : repas en bord de Saône à la paillote chez Francis (rien à voir avec un certain fait-divers sur l'île de Beauté): l'impression d'être en vacances et déjà loin du quotidien.

Nous rejoignons la Sucrière, déposons nos sacs au vestiaire et nous voilà parties pour 3 heures de visite. Au rez-de- chaussée, un espace commercial et beaucoup d'ouvrages. p62200091 Pour le moment, j'aime cette façon de présenter un travail; je connais les triptyques, peut-on parler de sixtyque?

Et celui-ci, simplissime, épuré:p62200071  Et celui-là encore, un symbole de vie :p6220006  J'attends les photos d'Estelle et Agnès pour faire un album.

Au passage, nous votons pour couronner le meilleur ouvrage, suite à un concours sur le thème ( de mémoire..) : un ouvrage, un auteur. J'ai bien aimé la bicyclette bleue.

A l'étage, des créatrices , leurs oeuvres, leur atelier... Malgré la chaleur, nous essayons les vestes feutrées de Gisèle...

17 heures, il fait chaud, il fait soif... Nous récupérons nos sacs (du mien que j'avais posé dans l'herbe à la paillote s'échappe une multitude de petites fourmis, incongrues sur le comptoir soft du vestiaire). Un rêve de bière fraîche:mais la péniche-bar devant la Sucrière ferme au moment où nous arrivons devant elle.Nous marchons jusqu'à l'arrêt de tram, passons devant de vieux camping cars (garées en bordure de la voie publique) utilisés apparement (très apparemment) pour le plus vieux métier du monde : tristesse, colère après le bonheur de l'expo...

Le tram nous dépose non loin de l'hôtel;douche puis balade vers le centre ville à la recherche d'une terrasse pour savourer "notre" bière"; place des Cordeliers, ouf!!!p6220014 Pas la chaise sur laquelle nous nous sommes affalées après notre quête, mais une des oeuvres présentée à la Sucrière.

Repas plantureux rue Mercière dans un des nombreux bouchons; nous apprécions tous les plaisirs de cette escapade!!!

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Commentaires
E
malgré tous les détails que tu as relevés, les mots ne suffisent pas pour exprimer "l'entente cordiale" qui a regné entre les 5 patchnanas sundgauviennes lâchées dans la grande ville pdt ces 2 jours... bsbsbsbs eeeeeeee
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M
merci de ce petit entrevu de cette belle journée. Je suis contente de partager un tout petit peu
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